Prenez un dimanche. Ca pourrait être un dimanche comme les autres, ou presque si ce n'était l'avant veille d'un exam et d'une soutenance de projet.

Prenez un züplécien bien fatigué par trois semaines de révisions et de projetisation intenses : debout 5h00, couché 1h00 en moyenne. Ajoutez un #$*!/{+£*§ de portable qui plante et qui ne veut pas démarrer alors qu'il faut boucler le projet, ajoutez un binôme limite dépressif parce qu'en pleine phase de rupture, saupoudrez d'une amie qui arrive en vous annonçant une funeste nouvelle et vous optenez un looong, très long dimanche.

Pas de fillancailles, certes, mais tout de même quelques doux moments de répis et de repos dans l'endroit le plus doux du monde. Y'a des jours comme ça où on se dit que les bras d'une fille peuvent suffire à tenir à distance tous les tracas de la vie, pour peu qu'on en soit amoureux.